La base : le bouillon maison de The Social Food

La base : le bouillon maison de The Social Food

Soupes, ragouts, ramen, pho, etc. ces plats douillets, qu’on affectionne particulièrement quand les jours raccourcissent et que les températures se font mordantes, ont tous un point commun, un ingrédient pas si secret qui permet de leur donner de la profondeur et de la subtilité : le bouillon.

Il n’y a pas si longtemps, et partout, on les faisait maison. Ils constituaient une sorte de colonne vertébrale pour toutes les casseroles nourricières autour du monde.
Normal : naturellement sans gluten ni produits laitiers, c’est un moyen économique et facile de réutiliser les morceaux pauvres de viande et d’os, mais aussi les restes de légumes comme les fanes, les feuilles et autres racines.
 
Mais au-delà de cet aspect logistique, le bouillon a toujours eu une certaine aura, celle du soin. Dans de nombreuses cuisines, y compris la nôtre, il joue les remèdes à de nombreux maux, pour preuve ses apparitions récurrentes dans la pop(otte) culture :  de la "pénicilline" juive (surnom anglo-saxon du fameux bouillon de poulet) au pho vietnamien qu’on cuisine et offre aux malades, sans oublier l’irrésistible envie de mentionner les remèdes de nos grands-mères, le bouillon joue un rôle dans d'innombrables plats réchauffant et vivifiants.
 
En version végétarienne, c’est un condensé bouillant de vitamines et minéraux issus des légumes qui cuisent lentement dans l’eau. Côté carné, quelques os et viandes permettent d’apporter tout ce qu’il faut de protéine, de collagène et de kératine. Toutes ces bonnes choses, ajoutées à la chaleur et à la vapeur décongestionnante d’un bon bouillon, permettent de booster le système immunitaire.
 
C’est pour cette raison que ce mois-ci, nous nous sommes associés à The Social Food - duo de folie pour qui aime les agapes de tous bords – pour vous livrer 3 recettes qui soignent autant qu’elles régalent, en version végétale, poiscaille et viandarde !
Suivez le guide !